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Sortie le 24 janvier 2024 du nouveau film de Jean Michel Bertrand : Vivre avec les loups

(Extrait de l’interview avec JM Bertrand de la gazette de l‘association Férus)

Pourquoi un troisième film sur les loups ? 

Jean Michel Bertrand n’a jamais eu l’intention de frais trois films Le premier film, La Vallée des Loups il y a sept ans était une quête personnelle, puis lors de la projection du deuxième Marche avec les loups,  il y a eu une discussion intéressante  et constructive avec un éleveur présent. Cet éleveur à la fin me dit «  Mais vous devriez faire un film qui s’appelle Vivre avec les loups pour parler de la coexistence !" Il était devenu évident pour moi qu’il fallait un nouveau film pour traiter du sujet et boucler la trilogie

Le réalisateur nous parle du loup d’une manière totalement nouvelle et inattendue. Il y aura bientôt des loups un peu partout en France. Il faut donc apprendre à « vivre avec les loups ».Dépassant les postures polémiques, l’auteur nous amène de manière sensible et cinématographique à percevoir différemment la nature qui nous entoure et les animaux qui l’habitent : chevreuils, chamois, bouquetins…Un voyage de Jean-Michel Bertrand avec de surprenantes rencontres, humaines et animales, avec son style inimitable, le réalisateur nous entraîne dans des réflexions naturalistes et philosophiques sur la nature.

Qui a déjà déjà vu le film? Donnez nous votre avis et partagez vos commentaires !

Le sénat de Belgique a approuvé, en novembre dernier, la proposition d’inscription du bien être animal dans l’article 7 bis de la Constitution.

Le texte prévoit que dans l’exercice de leurs compétences l’Etat fédéral, les Communautés et les Régions veillent à la protection et au bien être des animaux en tant qu’êtres sensibles.

Le président de Gaia (la plus importante association de défense des animaux de Belgique) estime que ce vote permettra une meilleure prise en charge par les tribunaux. Cette proposition devra encore être votée par la chambre des représentants pour une adoption définitive Les animaux pourront être mieux considérés et protégés.

« Il y aura des encore des maltraitances mais nous sommes là pour faire en sorte qu’elles soient traités par les tribunaux et que les juges en prennent sérieusement compte »

Michel Vandenbosch, président de Gaia

Contrairement au chat, le chien est obligé de sortir plusieurs fois par jour pour satisfaire ses besoins hygiéniques.

Selon la race de votre chien, son âge et son état de santé, vous allez l’aider un peu, beaucoup ou pas du tout à supporter le froid pendant l’hiver !

Même si les poils longs assurent une meilleure protection contre le froid que le poil court, c’est la densité du sous-poil qui fait la différence.

Pour un Husky ou un terre neuve par exemple vos amis à 4 pattes n’a pas besoin d’un manteau et refusera peut-être même de l’enfiler, tout content de courir tous poils au vent  et de se rouler dans la neige

Mais si vous avez un lévrier ou un chien nu, le manteau est absolument indispensable.

Les petits chiens sont également sensibles au froid qui ont du mal à se réchauffer tout seuls et apprécient d’avoir un manteau lors de leurs sorties l’hiver.

Les chiots et les seniors sont aussi plus sensibles au froid.  Le métabolisme des chiots ne leur permet pas de réguler efficacement la chaleur dont ils disposent et les plus âgés n’en sont plus capables.

Un manteau pour la promenade leur sera une aide précieuse, mais ne prolongez pas les sorties durant l’hiver, mieux vaut les sortir plus souvent que trop longtemps.

Les chiens malades ou en convalescence  sont dans un état de faiblesse et souffre aussi plus du froid.

Les chiens aiment moins  la pluie, mais sont souvent fous de neige, des vacances au sport d’hiver en famille c’est le top !

Longues balades, jeux dans la neige avec toute la famille tout leur paraît agréable laissez votre chien  profiter à fond de cette ambiance festif, en vérifiant bien qu’au retour à la maison votre chien soit bien au sec , qu’aucun glaçon ne se fixe entre ses orteils, et côté repas donnez-lui  un apport supplémentaires en protéines

Les manteaux pour chiens se sont bien développés depuis les années 50, le manteau tricoté en laine qui gratte….  ont été remplacés par de jolis modèles confortables, légers

https://www.croq.fr/manteau-chien-softshell-finnero.html

Pour les coussinets, les plus fragiles, pensez aux bottines !

https://www.croq.fr/bottine-chien-neige-froid.html

Sortie le 27 septembre 2023 du nouveau film de Luc Besson DOGMAN

Enfant, Douglas a été abusé par un père violent qui l'a ensuite jeté aux chiens. Au lieu de l'attaquer, ces derniers l'ont protégé et ils sont devenus ses alliés. Devenu adulte, encore traumatisé et menant une vie de marginal avec ses chiens, Douglas sombre peu à peu dans une folie meurtrière.

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Les amis des animaux le savaient mais la science vient de le démontrer.

Une étude scientifique réalisée par l’université de Bâle en Suisse révèle que caresser un chiens booste l’activité cérébrale de celui qui se livre à cette activité, bien plus que lorsqu’il touche une peluche de la même façon.

« Nous avons choisi d’étudier le cortex frontal car cette zone du cerveau est impliquée dans plusieurs fonctions exécutoires, telles que l’attention, la mémoire de travail et la résolution de problèmes.

Mais il est également impliqué dans les processus sociaux et émotionnelles » a précisé l’auteur de l’étude Rahel Marti .

Cette expérience prouve que les interactions humains-animaux vivants stimulent l’activité cognitive et émotionnelle dans le cerveau. La thérapie animale pourrait donc avoir un impact très positif sur des victimes d’AVC, de troubles épileptiques ou de trauma cérébraux…

Il peut arriver que le chiot mordille, s'amuse à attraper, tirer sur sa laisse pendant les promenades. La meilleure option pour faire en sorte que ce comportement lui passe est de l'ignorer. Faites en sorte de détourner l’attention de votre chiot de son point d'intérêt, ici la laisse :
- soit en le faisant jouer avec autre chose puis en le récompensant
- soit en le refixant sur vous avec une friandise

Ce mordillement peut en effet avoir deux raisons :

  • La laisse est tendue

Le chiot sent une tension qui le gène, la laisse est associé à une contrainte et il lutte naturellement contre. Il est donc essentiel de veiller à ce que la laisse reste lâche quoiqu’il arrive. Si la laisse est en tension, suivez votre chiot dans son mouvement dans un premier temps puis ramenez-le vers vous à l’aide d’une friandise.

  • Pour attirer notre attention, jouer

Dans ce cas, le problème sera également résolu car vous aurez recentré votre attention sur lui en jouant avec ou en le récompensant dès qu’il aura arrêté ce « mauvais » comportement. Simple et efficace !

L'éducation d'un chiot n'est pas une chose évidente et il n'est pas rare de l'appréhender. C'est en effet l'élément essentiel qui assurera la sérénité dans votre foyer et dans la vie de votre chien. Voici quelques lignes pour vous aider à vous positionner dans cette nouvelle aventure !Il faut avant toute chose :
- Respecter les différentes phases de développement du chiot
- Socialiser le chiot aux autres chiens & humains

Oui, nous sommes bien d'accord. Cela mérite des explications supplémentaires...

Dans la nature, la mère entreprend l’éducation des chiots jusqu’à leurs 5-6 mois. Dans le système domestique, elle n’a qu’un mois pour le faire. Il manque donc 4 mois d’éducation canine quand ils arrivent chez leurs propriétaires. A 2 mois, le chiot est encore en phase d’attachement par rapport à sa mère. Il est donc essentiel d’éviter tout changement brutal. Il faut initier une transition progressive entre la mère et son nouvel environnement. La prise de distance de la mère avec ses petits aide à cette transition. Elle doit dans l'idéal être complétée par ses propriétaires accompagnés par les éleveurs. On peut par exemple mettre dans l'enclos des chiots des vêtements avec l'odeur de ses futurs propriétaires, jouer avec un seul chiot à la fois, profiter d'un éloignement spontané de sa part pour initier des contacts positifs, etc. Si cette étape n’est pas respectée, le chiot risque d'être marqué émotionnellement et de développer une nature anxieuse, voire peureuse. Cette étape est donc clé pour son développement.

Jusqu’à 4 mois, le chien observe et associe. Les choses positives sont ainsi associées positivement à vie. Tout le travail est donc à faire AVANT 4 mois.

On ne dresse pas un chiot. On lui donne l’équilibre nécessaire pour qu’il puisse apprendre.

Notre rôle de maître est donc avant tout de mettre le chiot dans un état de réceptivité, il va être acteur de son apprentissage. A partir du moment où on impose au chiot, il se sentira captif et n’aura donc pas le choix. Les trois options qu’il aura seront donc la fuite, la résignation ou la réplique. Tout l'enjeu de l'éducation est donc donc d'avoir un rôle de leader.

Dans une meute, le leader est un chien rassurant et régulateur. C’est celui qui organise le groupe pour survivre. Il n’est donc pas ici question de hiérarchie mais de confiance. Eduquer son chiot, c’est faire en sorte qu’il soit bien dans 2 sociétés, la société canine et la société humaine. Il doit être bilingue mais également bi-social.

Il est possible que certains chiots fassent preuve d'un détachement naturel au fil du temps. Dans ce cas, il faut les laisser faire. Il ne faut en effet pas confondre attachement et hyper-attachement. Les contacts dans le jeu doivent être maintenus sans être omniprésents dans la vie du chiot.

Autre précision qui n'est pas des moindres : Le chien est un animal social, il n’est pas fait pour être seul. Il est dans l'idéal soit avec un groupe social (ses maîtres), soit avec ses congénères. Une situation autre ne lui est pas naturelle et doit donc faire l’objet d’un apprentissage : l’apprentissage de la solitude, avec patience et pédagogie.

Chose essentielle : on ne force pas le chien à aller dans l’eau s’il n’aime pas ça. Ce n’est pas un impératif social. Si on veut lui faire découvrir l’eau, il faut y aller progressivement !

Il y a donc deux possibilités :
- On le lâche avec plusieurs autres chiens qui aiment l’eau
- On rentre dans l’eau avec un jouet pour le mettre en confiance et on l’attire petit à petit

Pour cela, il faut privilégier un jouet adapté : flottant et suffisamment résistant pour qu'il puisse tenir une potentielle session de jeu aquatique. Vous trouverez de nombreux exemples ici.

On peut également prévoir un gilet de sauvetage pour le chien afin de le mettre dans les meilleures conditions possibles. Se sentant flotter, le chien sera en effet plus à-même de se sentir en confiance et d'avancer une patte de plus vers le large !

RAPPEL : Tant que le chiot n’a pas fini sa croissance, il ne faut pas le laisser ni monter ni descendre les escaliers. Si vous êtes confronté à des escaliers avant les 9 mois du chiot, il est indispensable de le porter ou de prendre l’ascenseur. Si le chiot peut être tenté à y aller seul, il faut mettre une barrière pour l’en empêcher.

Si votre chien a peur des escaliers, c'est probablement lié à la sensation de basculement qui lui est désagréable. C'est un apprentissage qui se fait aisément par le jeu et dans la bonne humeur. Pour ce faire, commencez avec des friandises et sur 2 petites marches seulement. Récompensez chaque essai du chien. Nous vous conseillons de choisir des petites friandises, comme les petits os Bonies par exemple, car la moindre tentative pour accéder à la marche suivante doit être considérée comme un effort et être reconnue à sa juste valeur !

Au fur et à mesure, confrontez votre chien à des escaliers avec un nombre de marches grandissant (ex : de 2 à 4, de 4 à 6, et ainsi de suite). Lorsque vous sentez votre chien à l'aise, vous pouvez passer à un renforcement de l'action aléatoire. Récompensez de manière aléatoire ses montées et descentes. En cas de soucis (ex : le chien reprend peur), n'hésitez pas à re-simplifier l'exercice en revenant à l'étape précédente.

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Le chien est un animal social et la solitude n'est pas pour lui un état inné et agréable. La solitude fait donc partie d'un apprentissage à part entière qui se travaille avec calme, pédagogie en plusieurs étapes.

La première étape est d'habituer le chien à l'absence de son maître. Cette absence  doit idéalement se prolonger progressivement. Vous commencez par vous absenter quelques secondes de la pièce les premières séances puis quelques secondes de plus les séances prochaines jusqu'à quelques minutes les séances d'après. La solitude s'apprend également lorsque vous êtes présent dans la même pièce que votre chien. Il ne faut en effet pas hésiter à créer des périodes d’ignorance même quand vous êtes à la maison et qu"il réclame le contact.

Avant un départ complet de la maison, prenez toutes les dispositions pour éviter que la solitude soit synonyme de silence intense et d’ennuie pour votre chien :
- Détournez son attention avant de partir
- Laissez lui éventuellement la radio en marche
- Faites en sorte qu'il associe votre départ à l'ouverture d'une caverne d’Ali baba pour chiens. Laissez lui des jouets qui pourraient l’occuper les 20% de la journée où il ne dormira pas. Ces jouets doivent être bien spécifiques. Le chien n'a accès à ces jouets précis uniquement lorsque vous vous absentez.

Vous pouvez par exemple lui laisser des jouets à mâcher comme la tétine en caoutchouc Paci-Chew (Ici), une bouteille en plastique trouée ou une boite en carton avec des croquettes ou des friandises à l'intérieur.

L'essentiel est que votre chien associe votre départ à un Jackpot!  

Ceci, additionné à l'absence de contact négatif avec vous (ex : engueulade) vous permettra de créer un lien fort avec votre chiot ou votre chien. 

A force de répéter ce processus tout le temps, une certaine mécanisation se mettra en place. Votre chiot ou chien associera votre absence à une stimulation positive et le comportement non désiré disparaîtra. 

 ATTENTION : En cas de constatation de destruction à votre retour, il faut ignorer le mauvais comportement et ranger les jouets donnés au départ. Chez le chien, la vengeance n’existe pas. S’il y a des dégâts c’est que le chiot s’est libéré d’une tension émotionnelle. Considérons par exemple un chien qui a fait ses besoins dans le lit de son maître en son absence. Il y est probablement allé pour se rassurer, le lit étant l'emplacement où l'odeur du maître est la plus présente. Une fois installé, le chiot (ou chien) est cependant toujours soumis au stress. Le chiot se détend grâce à l'odeur... et l’accident arrive. Pauvre chien !

La clé est de se mettre à la place du chien. En cas de réprimande, le chien associera l’arrivée du maître à la réprimande. Le chien va donc essayer d'apaiser son maître par un enchaînement de signes distinctifs pour éviter de se faire gronder. Il n'a pas associé la "leçon de moral" à son action précédente mais au retour de son maître.  Il essaie simplement de calmer l'irritation d’origine non identifiée de son maître.